mardi 15 décembre 2009

L'Univers est contenu dans le TEMPS.



POURQUOI ?
(Univers, infini, galaxie, homme, pourquoi tout cela existe ?)
Rien n’est inutile et rien n’existe par hasard.

Sans le TEMPS, rien n’existe.
Le Temps provoque tout et donc c’est de l’énergie et la base de tout.



Notre univers est contenu dans le facteur « TEMPS ».
Sans le TEMPS, même l’Energie ne signifie plus rien.


La Matière est donc aussi un facteur du TEMPS.
M=k*Temps


E=MC² et T (temps)=k*Energie


Le Temps est aussi une Energie, voilà la solution au mystère de notre univers.

  Francois Babak Pourbagher
Francois Pourbagher
Babak Pourbagher
Pourbagher Francois

Depuis toujours, l’homme a essayé de scruter, deviner, expliquer l’univers.
Il a inventé la théorie du BIG BANG, l’infini de l’espace, mais il semble qu’il ait oublié bien souvent le BON SENS.
Ce qui est incroyable, c’est l’insistance de l’homme à ignorer sa quasi insignifiance par rapport à l’univers qui l’entoure : on se bat, on fait des guerres, on bombe le torse, on base le pouvoir sur du papier imprimé appelé « argent » et on ignore que l’on ne sait encore RIEN du pourquoi et du comment de tout ce qui nous entoure.


Pire : on se croit unique et rare.

Par exemple, la grande majorité pense que les saisons sont le fruit de l’éloignement et du rapprochement de la Terre au Soleil lors de son évolution orbitale : en fait, la terre tourne quasiment toujours à la même distance du soleil (quand bien même inexact, cela ne changerait rien).

Les saisons sont tout simplement dues au fait que l’axe de rotation propre (jour/nuit) de la terre est incliné par rapport à l’axe de rotation autour du soleil, d’où les saisons qui proviennent des variations de la surface exposée au soleil selon la position orbitale.

On connaît l’atome avec son noyau et les électrons qui tournent autour : le système solaire n’est-il pas très semblable à un atome avec ses électrons (planètes) qui tournent autour ?
Est-ce que nous ne sommes pas l’ATOME d’un être gigantesque ?

Bizarre cette ressemblance tout de même ?
Parfois, pour comprendre le lointain univers, il suffit de regarder l’infiniment petit sur terre.

L’Univers existe (pense-t-on) depuis 15 000 000 000 d’années, la Terre depuis 5 000 000 000 d’années et l’Homme depuis hier (100 000 ans) seulement : voilà la REALITE.
I’Homme n’existera probablement plus demain et il n’y aura plus aucune trace de lui après demain.

Les scientifiques ont inventé une multitude de théories pour expliquer les choses et, à chaque incohérence, ont essayé de rafistoler les théories pour qu’elles collent (autant que possible) à la réalité visible.

Une multitude d’incompréhensions subsistent actuellement : la lumière est composée de petites billes appelées Photon voyageant à la vitesse (justement) de la lumière et ayant les propriétés d’une onde et d’une particule à la fois !
Au début, il y avait la mécanique classique de Isaac Newton pour expliquer la pomme qui tombe, ensuite on a complété avec la mécanique quantique (Max Planck ,1900) pour expliquer l’infiniment petit et finalement la relativité (Albert Einstein) pour expliquer l’inexplicable. (Il pensait que l’univers était statique alors qu’il est en expansion, il insista au point d’inventer une formule pour prouver sa théorie… il regretta toujours cette erreur (eh oui Einstein aussi se trompa !).

Alors, tout cela découle d’une simple logique : on a oublié le BON SENS, et pour avoir du bon sens, nul besoin de sortir de polytechnique.

Tout d’abord, tout ce qui existe a bien une raison d’exister, peu importe qui ou quoi l’a créé : POURQUOI donc tout cela existe-t-il ? (Galaxie, soleil, terre, homme, animaux, oxygène, univers, etc.)

Un électron tourne autour d’un noyau depuis la nuit des temps : jamais personne n’a vu un électron tomber par terre, il y a donc bien un mouvement perpétuel que nous constatons tous les jours. Alors bien sûr, on a inventé la mécanique quantique pour nous expliquer que lorsque l’on touche l’infiniment petit, c’est comme ça nous dit on !!!!
Tant que la mécanique quantique n’a pas répondu à la question POURQUOI, il semble plus sage de se fier au BON SENS. (Il n’y a quand même pas si longtemps que cela, on nous disait bien que la terre était le centre de l’univers, que le soleil tournait autour et que, selon Einstein, l’univers était figé, non ?)

Qui ou quoi alimente en énergie l’électron qui tourne depuis toujours : La matière NOIRE qui remplit l’univers et que l’on ne voit pas, mais que l’on devine ?
Pourquoi le photon qui voyage bien à la vitesse de la lumière n’a pas une masse infinie comme le prédit la théorie d’Einstein (la masse augmente avec la vitesse et devient infinie à 300 000 km par seconde, vitesse de la lumière) ?


 Pourquoi tout cela existe : quel est le BUT de l’univers ?

Ce qui est certain, c’est qu’il y a un POURQUOI et un BUT à tout cela.

Il y a certainement un BUT, rien n’existe sans objectif, c’est du BON SENS.

Pourtant beaucoup de choses (animaux, dinosaures, végétaux, étoiles, etc.) disparaissent sans avoir apparemment eu une VRAIE utilité !

La raison de l’univers ne peut être l’existence de l’Homme.
Imaginons par l’absurde que l’homme soit important, qu’il évolue, qu’il invente des fusées super rapide, imaginons tout ce que vous voulez…. que pourrait donc faire l’homme après de milliards d’années et des voyages infinis : juste peupler toutes les planètes de l’univers, y faire des enfants et planter des arbres ; rien de plus.
Alors en quoi le fait de coloniser toutes les galaxies est-elle une finalité pour l’univers ? En rien, car, une fois à 10 000 mètres d’altitude, on ne voit même pas que l’homme est présent, de la même manière que lorsqu’on voyage en avion.

L’homme, même avec beaucoup de chance et de génie, ne peut par lui-même être ou représenter une finalité à l’existence de l’Univers, il est juste un moyen pour une cause générale et infinie.

Peut-être alors que son utilité est-elle incluse dans une « STATISTIQUE » qui voudrait que parmi « BEAUCOUP », un seul accède et fasse accomplir l’objectif, mais que justement, statistiquement, on ne peut savoir qui ou quoi atteindra l’objectif , d’où la nécessité de créer BEAUCOUP afin que statistiquement « UN » atteigne le BUT.

Voilà comment agit la Nature : pour atteindre un objectif, elle crée une multitude afin qu’au moins UN atteigne l’objectif. (Un peu comme les spermatozoïdes, encore une fois l’infiniment petit explique l’inaccessible, la nature a toujours la même logique du plus petit au plus immense…)

La Nature agit souvent ainsi, mais jamais d’une manière aléatoire ou inutile : elle a toujours une RAISON de faire. Appelons cela : « la statistique de la Multitude ».

Il y a plus d’étoiles (soleils) dans notre galaxie que de grains de sable sur toutes les plages de la terre et il y a encore plus de galaxies que de grains de sable sur toute notre galaxie.
Il y a plusieurs centaines de milliards de soleils dans notre Voie lactée (la galaxie où est située la Terre s’appelle Voie lactée) et notre Voie lactée est une toute petite galaxie parmi des milliards de milliards de milliards

Parmi tous ces soleils au sein de ces galaxies, une infinité a une planète semblable à la nôtre qui tourne autour d’elle : sur ces planètes, il y a certainement autant de civilisations primaires que de civilisations extrêmement évoluées.

Le BON SENS statistique ne peut contredire cela.


Une seule chose est certaine : AUCUNE de ces civilisations n’a encore découvert le POURQUOI, car sinon on le saurait, même si on le subissait à distance.

Le POURQUOI est la clé de tout, le comprendre ou le savoir doit certainement conditionner l’univers et sa continuité.


Afin d’éclaircir tout cela, reprenons depuis le début et partons de notre Terre pour voyager vers l’infini, « l’ultime frontière ».
Comme a dit Socrate, le grand philosophe grec : « tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien ».

 
1. BIG BANG


La théorie la plus admise par les scientifiques est celle du BIG BANG (élaboré par George Gamow en 1940). En clair, il y a quinze milliards d’années, tout ce qui existe (galaxies, planètes, soleil, étoiles, etc.) faisait une bille dense de 10 puissance MOINS 33 centimètres.
Une explosion gigantesque (BIG BANG) provoqua l’expansion de cet amas de matière qui en UNE seconde seulement abaissa la température de l’univers de 10 puissances 27 degré kelvin à 10 puissances 10. On appelle cette seconde : l’ère photonique.


Cela est arrivé il y quinze milliards d’années. On a démontré (Edwin Hubble 1929) en observant les autres galaxies et leur vitesse d’éloignement que plus une galaxie est lointaine, plus vite elle s’éloigne de nous comme si elle était le produit d’une explosion originelle.
En faisant le calcul inverse, on est arrivé à la mesure de quinze milliards d’années et d’ailleurs cette vitesse d’éloignement des galaxies contredit la mauvaise théorie d’EINSTEIN qui voulait prouver que l’univers était figé et ne changerait jamais.

On mesure la vitesse d’une galaxie qui s’éloigne par la mesure de la lumière émise : plus vite elle s’éloigne, plus grande est sa couleur ROUGE. C’est l’effet Doppler qui fait qu’un train qui s’approche de nous a un sifflet plus aigü que quand il s’éloigne. (Même chose pour la lumière, plus elle s’éloigne, plus elle devient rouge).
Actuellement, la température de l’univers est de 2.7 degré kelvin. Nous sommes en pleine phase d’expansion, l’univers s’agrandit chaque seconde. La question consiste à se demander si après une phase d’expansion, il ne va pas à nouveau se contracter pour revenir à son état lors du big bang.
L’univers est constitué de milliards de galaxies comme celle dont fait partie notre Soleil. Dans chaque galaxie, il y a plusieurs centaines de milliards de soleils. Il y a aussi de grands vides, par exemple le trou de BOUVIER qui fait 300 millions d’années lumière de diamètre. On devrait donc voyager 300 millions d’années à la vitesse de la lumière (300 000 km/seconde) pour le traverser !
L’univers est immense et notre système solaire n’est même pas un grain de sable comparé à lui.
 
La question consiste à dire qu’y avait-il avant le début du big bang ? On ne sait pas. On connaît (pense-t on !) l’histoire jusqu'à l’instant 10 puissance moins 43 secondes (dit TEMPS de PLANCK) et rien avant !
 
Notre univers est dit à quatre dimensions : quatre spatiales (haut, bas, gauche, droite) et le TEMPS : on appelle cela le Continuum espace Temps.
On sait que les dimensions et même le temps dépendent de la vitesse et de l’énergie (EINSTEIN).

La gravitation a la particularité de s’étendre à l’infini : notre petite terre a une influence gravitationnelle (certes infime mais réelle) sur la dernière galaxie du fin fond de l’univers.

La densité de l’univers est estimée à 5*10 puissance moins 30 grammes par centimètre cube.

On calcule la masse d’une galaxie en observant le mouvement de ses étoiles qui suivent la mécanique et la gravitation. On calcule alors la masse de l’univers en multipliant la masse moyenne des galaxies par le nombre de galaxies.

En calculant la masse d’un amas de galaxies, on se rend compte qu’il manque 90% de la masse ? On suppose donc qu’il existe ce que l’on appelle une MASSE NOIRE, invisible à notre perception mais dont la masse existe et influence le mouvement des galaxies. On cherche donc actuellement cette masse noire et aussi une énergie invisible dont on voit les effets sur les mouvements des galaxies.

En calculant la masse d’un amas de galaxies, on se rend compte qu’il manque 90% de la masse ? On suppose donc qu’il existe ce que l’on appelle une MASSE NOIRE, invisible à notre perception mais dont la masse existe et influence le mouvement des galaxies. On cherche donc actuellement cette masse noire et aussi une énergie invisible dont on voit les effets sur les mouvements des galaxies.



2) Raisonnement de « bon sens. » : le TEMPS source de TOUT.

La nature, l’univers existent et tout cela a un BUT bien précis car la nature ne crée rien sans raison.

Que ce soit l’être humain ou un animal quelconque de la planète Terre sur laquelle d’ailleurs il existe pour accomplir une mission bien précise justement nécessaire à la nature et à l’univers.
Il est certain que nous ne sommes pas seuls, que notre planète n’est pas la seule à être habitée et que justement, c’est cette multitude qui fera que statistiquement, un être parmi tant d’autres, accomplira ce pourquoi la nature l’a créé.

C’est une statistique, on ne sait quel être l’accomplira mais il y en a tellement qu’il est quasiment certain que l’un de ces êtres arrivera au but que la nature cherche.
Ce but semble donc essentiel à l’univers et l’avenir de celui-ci en dépend.

Les dinosaures sont disparus et apparemment leur existence n’a servi à rien ; des plantes et bien d’autres animaux, ainsi que des milliers de planètes et de galaxies ont aussi disparu mais l’univers continue car parmi tout ce qui reste et tout ce qui va apparaître, UN fera ce dont l’univers a besoin : voila la théorie de la Statistique de la Multitude.

Maintenant il faut se demander quelle peut être la tâche qu’un être peut accomplir et qui devrait être essentielle à l’univers tout entier ?
Imaginons que si l’on arrive un jour à donner la vitesse de la lumière à une bille, la masse de celle-ci devenant infinie, elle anéantira l’univers en une seconde : un simple mortel de la petite terre peut anéantir l’univers en totalité.

Apparemment, la Nature n’a pas encore atteint son but car l’univers ne semble pas avoir été modifié par quoique ce soit depuis longtemps déjà, mais statistiquement, chaque seconde nous y rapproche.
 
Ensuite se pose la question de qui sommes-nous, où sommes-nous, et dans quoi sommes-nous ? Nous sommes pourtant bien dans quelque chose, non ?

Einstein avait découvert que la matière et l’énergie était égales. (E=MC²)

Nous sommes dans un univers où le facteur TEMPS est essentiel, sans lui rien n’existe.

Il faut que le « TEMPS » existe pour que tout existe.
 
Si on arrête le TEMPS, même l’atome n’existe plus, car il faut bien que le TEMPS soit présent pour que l’électron tourne autour de son noyau.
 
Le temps ne peut donc s’arrêter, probablement il peut être accéléré ou ralenti.
Si le TEMPS est si essentiel à un univers composé seulement d’énergie, alors ne semble-t-il pas logique d’associer le TEMPS à l’énergie.
Il est certain donc que le TEMPS est égal aussi a de l’énergie, multiplié ou divisé par un facteur à découvrir.

Finalement le Temps est encore plus essentiel que l’énergie, car sans le TEMPS, même l’énergie n’a plus aucune signification.
Sans le Temps, même l’énergie ne peut exister.


Rien ne peut exister sans le TEMPS qui s’écoule.

Alors, il faut poursuivre notre raisonnement en imaginant que dans certains endroits où l’énergie est plus dense, le Temps devrait donc être plus rapide et vice versa.

Est-ce qu’au cœur du soleil, le temps s’écoule de la même manière que sur la terre ?

Est-ce que le temps qui s’écoule sur terre dépend de la vitesse de rotation de la terre autour du soleil ou par exemple de la vitesse absolue de notre planète dans le cosmos ?

Einstein a déjà relié le facteur Temps à la vitesse. Le Temps à bord d’une fusée ne s’écoule pas de la même manière que sur terre. Il y a donc bien un lien entre Temps et énergie.
Mais il semble que le Temps soit encore plus essentiel que l’énergie.

Comment imaginer que notre univers tout entier tenait dans une bille minuscule si on n’admet pas qu’ALORS, le Temps n’existant pas encore, rien n’existait.
Ce n’est que lorsque le TEMPS a commencé que tout est naît.


Tout est contenu dans le Temps, sans le Temps, rien n’existerait et le Temps conditionne tout.
Si le temps s’arrête, tout disparaît.

On peut aussi faire le raisonnement autrement : plus on s’éloigne du point originel du Big Bang, moins il y a d’énergie donc le temps s’écoule plus lentement.

Chaque sphère concentrique a donc un facteur Temps différent au fur et a mesure que l’on s’éloigne du centre et du point de naissance du Big Bang.

3 BON SENS : le But de l’UNIVERS.


Essayons d’imaginer le BUT de l’univers.

L’homme consomme et transforme la matière sur terre. Imaginons qu’il puisse inventer un vaisseau spatial ultra rapide et aller partout dans l’univers : il continuera à consommer et transformer les matières présentes et rien de plus.
Cela ne modifiera en rien l’univers et n’a, a priori, aucune finalité sinon celle de transformer comme dans une fourmilière.

Ce ne peut être donc là le BUT du POURQUOI.

De plus, une infinité de planètes doit exister et avoir des êtres vivants plus évolués et moins évolués (statistiquement).
Pourquoi une telle multitude de planètes, de créatures ?
Imaginons que la nature, dans sa grande sagesse, veuille que, statistiquement, une créature ou un élément de l’univers, réalise une expérience ou une création. Pour cela, il faut que la nature mette toutes les chances de son côté et crée un multitude afin d’espérer, au bout d’un temps inconnu, que l’une de ces créatures invente ou réalise, par un hasard statistique, ce pourquoi l’univers a été créé.

Voilà ce que l’on peut appeler la théorie de multitude statistique.

Imaginons un seul instant que la loi d’EINSTEIN selon laquelle un mobile voyageant à la vitesse de la lumière à un poids infini soit VRAIE. Infini veut dire que même une bille sur terre qui bouge à la vitesse de la lumière peut avoir la masse de tout l’univers entier. Alors, cette bille attirerait à elle tout l'univers en un seul instant puisqu’elle est l’univers elle-même en raison de sa masse infinie.
Ne pensez-vous pas qu’alors, peut être, le pourquoi de l’homme serait résolu ?
On assisterait alors à la contraction de l'univers, on reviendrait vers l’instant du big bang et on recommencerait…

Nous ne savons rien de l’univers ni de notre système solaire. Nous sommes primitifs et le POURQUOI est bien loin de nous.
4) La Mort n’existe pas.


La mort semble être une finalité pour l’homme et pourtant elle n’existe pas. On ne meurt jamais.

L’univers est composé d’atomes qui sont là depuis la demi heure après le Big bang, depuis ce moment rien n’a été créé, ni détruit, ni disparu.

Notre corps est fait d’atomes ayant circulé dans l’espace, sur des comètes et un beau jour la nature l’a choisit pour faire une molécule d’eau ou de calcium et cette molécule s’est associée à d’autres pour nous construire.

Lorsque nous croyons que nous arrêtons de fonctionner, ces atomes, ces molécules redeviennent libres et vont faire partie d’une autre structure : cet atome n’est donc ni mort, ni détruit, ni disparu.

On ne meurt donc jamais finalement, simplement l’assemblage change de forme.

Quand on recycle des métaux pour faire une voiture, ces atomes de métal faisaient partie d’une autre voiture et on les a utilisés pour en faire une autre, c’est le même atome sans aucun changement.
La mort n’existe donc pas au sens strict du terme, on change juste de forme.

Un atome de calcium qui fait partie d’un mur d’immeuble, va être absorbé par une poule qui va en faire un œuf, lequel œuf va être digéré par une mère enceinte qui le donnera à son fœtus pour en faire son squelette, il se pourrait même que cet atome de calcium faisait autrefois partie il y un milliard d’années d’une comète ou bien, il y a mille ans, d’un seigneur Breton.
Rien ne se crée ni ne disparaît dans la nature depuis le Big Bang. Alors certains vont demander ce que devient l’âme quand on est désassemblé ?

L’âme, c’est du courant électrique ; elle ne disparaît pas non plus, elle se disperse dans l’espace comme toute énergie : lorsqu’une usine électrique produit du courant, en allumant une lampe chez vous, vous transformez ce courant en lumière, mais cela ne signifie pas que cette énergie ou ce courant électrique est mort, il s’est juste transformé en lumière ou photon et existe toujours.

L’âme est un courant électrique qui ne disparaît jamais non plus mais qui se désassemble comme notre corps en atome simples.


François Babak Pourbagher
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